Monsieur
Guy SAN JUAN, conservateur régional de l'archéologie à la DRAC (Direction
Régionale des Affaires Culturelles), concluait ainsi la présentation du
diagnostic archéologique réalisé par l'INRAP (Institut National de Recherches
Archéologiques Préventives) qui a été présenté par sa collaboratrice, Madame
Catherine MOREAU, lors du conseil municipal le jeudi 12 novembre : "rien
au niveau archéologique ne peut empêcher la réalisation du projet de port
Brétignolles".
Le diagnostic archéologique a été réalisé en deux temps. Une première campagne l'hiver dernier du 14 octobre au 28 novembre 2014, puis une deuxième phase en mai 2015, ciblée sur le plan d'eau de la Normandelière.
Certaines zones sont qualifiées d'intérêt archéologique mais ne feront pas l'objet de prescription car les travaux du port ne les impacteront pas. C'est par exemple le parking proche du bassin dédié aux activités nautiques qui, bien que présentant un potentiel intéressant, ne sera pas examiné. Le niveau de ce parking étant situé plusieurs mètres au-dessus des zones à potentiel.
A noter également une zone tourbeuse située dans le plan d'eau qui sera sondée à nouveau pour préciser l'intérêt ou non d'un examen plus approfondi lors des travaux du port. Il s'agirait alors de réaliser une "fenêtre" (zone de fouille réduite) dans le plan d'eau pour examiner cette zone. Cette hypothèse est incluse dans le cahier des charges de réalisation du port pour permettre la poursuite des travaux en parallèle.
C'est donc une excellente nouvelle pour le port qui franchit là une étape très importante de son histoire. C'était l'une des conditions pour pouvoir mettre le projet à l'enquête publique que nous espérons maintenant dans les tout prochains mois.
Le diagnostic archéologique a été réalisé en deux temps. Une première campagne l'hiver dernier du 14 octobre au 28 novembre 2014, puis une deuxième phase en mai 2015, ciblée sur le plan d'eau de la Normandelière.
Certaines zones sont qualifiées d'intérêt archéologique mais ne feront pas l'objet de prescription car les travaux du port ne les impacteront pas. C'est par exemple le parking proche du bassin dédié aux activités nautiques qui, bien que présentant un potentiel intéressant, ne sera pas examiné. Le niveau de ce parking étant situé plusieurs mètres au-dessus des zones à potentiel.
A noter également une zone tourbeuse située dans le plan d'eau qui sera sondée à nouveau pour préciser l'intérêt ou non d'un examen plus approfondi lors des travaux du port. Il s'agirait alors de réaliser une "fenêtre" (zone de fouille réduite) dans le plan d'eau pour examiner cette zone. Cette hypothèse est incluse dans le cahier des charges de réalisation du port pour permettre la poursuite des travaux en parallèle.
C'est donc une excellente nouvelle pour le port qui franchit là une étape très importante de son histoire. C'était l'une des conditions pour pouvoir mettre le projet à l'enquête publique que nous espérons maintenant dans les tout prochains mois.
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